La question du travail
Un partenariat avec Adef+ pour le travail temporaire, a été démarré en 2012 et continue à progresser. Il permet à plusieurs résidents et résidentes de trouver quelques missions rémunérées (de plus en plus de femmes sont concernées). Il peut s’agir de missions courtes dans des entreprises locales ou des contrats de plus longue durée sur des métiers en tension (ménage, nettoyage industriel, abattoirs…). Les demandeurs d’asile peuvent travailler sous certaines conditions, notamment après une présence de plus de 9 mois en France. Nous essayons d’accompagner ceux qui le peuvent vers un début d’insertion professionnelle.
Par ailleurs, des opportunités de travail sont offertes aux résidents, depuis de nombreuses années, par les agriculteurs du territoire (plantation et récolte d’échalotes, d’ails, d’asperges, ou de castration de maïs…).
Les compagnons à Puy-Guillaume
Un partenariat a été mis en place fin 2012 avec Emmaüs Puy-Guillaume et consiste à faire participer plusieurs résidents en tant que compagnons extérieurs aux activités de cette communauté Emmaüs. Quatre à cinq résidents demandeurs d’asile participent régulièrement. C’est un travail bénévole bénéfique pour ces personnes, qui par leur utilité, retrouvent de la dignité et apprennent le français.
Actions bénévoles des résidents
Les résidents répondent souvent présents aux sollicitations de l’association Emmaüs à certains moments (petits travaux d’entretien du bâtiment et du parc, la préparation de la brocante solidaire, le nettoyage du lieu une à deux fois par an, les journées « village propre » à la demande de la commune,…). L’association associe toujours les résidents dans l’organisation et la mise en œuvre de certaines taches avec pour premier but la cohésion des familles, le partage et l’entraide.